Nous vous partageons la grande joie et la fierté du classement établi par Le Figaro en fonction des indicateurs du Ministère de l’Éducation nationale.
Sur les 6950 Collèges français (1658 Enseignement catholique + 5292 Enseignement public) (Source Ministère de l’Éducation nationale 2021), après 2023, celui de l’Institution Champfleury est à nouveau classé 1er au niveau départemental en 2024 !!!
Ce sont là les magnifiques fruits du travail de chacun, enseignants, Vie scolaire, personnels…
Et nous n’avons pas à faire preuve de fausse modestie : je vous invite et vous encourage même à en parler autour de vous (amis, parents…).
D’autant plus que ce classement tient compte :
– seulement des résultats écrits du DNB (donc, pas du contrôle continu et de la note d’oral du DNB)
– de l’IPS (Indice de Position Sociale) « Cette donnée est calculée en faisant la différence entre le chiffre obtenu et celui qui était attendu, compte tenu du profil socio-économique des candidats. » (Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance).
En d’autres termes, c’est véritablement le travail d’accompagnement et la progression des élèves depuis la 6è qui sont évalués.
Extraits de l’article du Figaro : « Notre palmarès 2024 des 60 meilleurs collèges publics et privés de France » du mercredi 20 mars 2024
Depuis l’année dernière, la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (Depp) publie des données qui permettent d’identifier clairement le niveau des collèges. Il s’agit des indicateurs de valeur ajoutée des collèges (Ivac), qui existent depuis bien longtemps concernant les lycées (Ival). Pour établir ce classement, le Figaro s’est intéressé au niveau scolaire des élèves de chaque collège, estimé par leur note moyenne aux épreuves écrites de français de maths, d’histoire-géographie et de sciences avant majoration. Un point important, puisque les notes définitives des élèves de 3e au brevet ont tendance à être réévaluées à la hausse afin de gonfler les taux de réussite. Une pratique récemment dénoncée par le premier ministre Gabriel Attal qui a annoncé vouloir y mettre fin dès cette année. (…) Le niveau scolaire des élèves de chaque collège est estimé par leur note moyenne aux épreuves écrites de français, mathématiques, histoire-géographie et sciences (avant majoration). Cet indicateur, disponible depuis deux ans seulement, est beaucoup plus précis que le traditionnel taux de réussite à l’examen, lequel dépasse 90% en moyenne sur l’ensemble des collèges. Il a été complété par le taux d’accès de la 6e à la 3e et la part des élèves de 3e présents à l’examen. Ces deux critères mesurent la capacité de l’établissement à accompagner ses élèves du début à la fin du collège. La valeur ajoutée sur la note à l’écrit (calculée par la Depp) a été prise en compte pour départager les collèges ex aequo pour les indicateurs « bruts ». Elle mesure la performance du collège au vu des caractéristiques de ses élèves (âge, niveau scolaire à l’entrée en 6e, origine sociale et sexe). La valeur ajoutée d’un établissement dont on attend 16/20 au brevet n’est cependant pas comparable à celui dont on attend 8/20. En effet, est-ce aussi facile (ou difficile) de faire passer un élève de 8 à 10 que de 16 à 18 (valeur ajoutée de 2 dans les deux cas) ? C’est pour cette raison que nous ne les avons pris en compte que secondairement, pour départager les collèges ex aequo pour les indicateurs bruts.
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